C'est déjà bien ennuyeux de ne pas avoir d'argent, s'il fallait encore s'en priver ! Cette phrase est de Paul Morand. Je l'utilise souvent pour ouvrir ce débat...
Comme la plupart des dirigeants, que vous soyez artisans, commerçants, professions libérales, ou gérant de société, vous ne pouvez pas envisager de vous rétablir dans de bonnes conditions si vos revenus sont divisés par deux pendant un an et même plafonnés à 1500€, puis nul pendant les deux années suivantes. C'est globalement le sort que nous réserve le traitement du régime social des indépendants en cas d'arrêt de travail après un accident, par exemple. Qui n'a pas connaissance d'un proche ayant chuté d'un échafaudage ou victime d'une maladie grave...
On n'a encore jamais vu une famille tomber dans la précarité parce qu'elle n'a pas pu payer ses soins : cependant, les difficultés majeures proviennent de la crise liée à la baisse du niveau de vie du foyer familial, sans parler des charges de l'entreprise qu'il faudra continuer de payer.
Globalement, nous sommes assez bien couvert pour les risques fréquents mais peu grave et relativement mal couvert pour les risques moins fréquents mais ayant des conséquences financières importantes.
Et si vous aviez la possibilité de vous sauver d'une telle situation, pour protéger vos enfants et votre conjoint !
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